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Italian financial plan? Fix it again …

6 Dic

It is amazing how Italian press does not get up a complaint or a negative thought about the financial plan that Monti & co. want to impose to Italians, today, and the French, tomorrow who knows, standing the “feeling” showed for “Mario”.
All happens while on television, typically consociational, we listen, conversely, negative comments – sometimes caustic – by experts and politicians.

A financial plan that is an hypotesis, maybe a promise, maybe an illusion.

Helps for little companies are very low, given by tax cuts, that work only if people goes  shopping and if production rises up.
Obviously, we cannot expect any good if actual recession will be aggravated by measures that severely affect pensions, as it is really difficult mind to a more cooperative workers.
Talking on companies, Monti was clear: those can survive only espanding their markets abroad … where, of course, German, Indian and Chinese companies are waiting for us …

About the Caste – this is the name used by italians for politicians, judges, syndacates, medicians and journalists – nothing happens and nothing is promised. At this rate, the cost of politics, at least as an annual budget of 2012 remain an hypotheses and discontent could turn into anger.
Reorganization of municipalities and provinces sounds as a step back from the “general will” to quash the provinces and to melt small municipalities.
And always on Caste, nothing is in sight regarding Unions and “justice system”, which is equivalent to stay tethered in lengthy procedures and dealings.

Infrastructure and public administration are also at stake, despite vague promises, and this means that waste and decline will continue. Not only that, because a good part of the implementing rules of the Monti’s financial plan will have to overcome obstacles and drains in the State-Regions Conference.
The South is as well not exist, five billions od euros are a beggar banquet, not even mention Naples (and Rome) about landfill issue, incentives and infrastructure to even talk about it. And the fight against Mafia requires large investments … at moment not avaiable.
About public sector, it suffices to note that the rules on pensions will have no other effect than increasing the average age of personell.

And now, we arrive at retired slaughter. Monti’s “promise” is to get cash for about 6 billion per year over a decade. A very tiny amount compared to social uncertainty that produces. A sum also quite random.
To be precise, billions are just 3-4 at net of tax and, for other factors, actual Monti’s prevision could be just a handful of truly pennies.
In fact, since we’re talking about over 50 y.o. people that, not rarely, suffer from some chronic disease and we cannot number how increasing costs will we will have for for times off from work and increased health care costs, given that diseases will only worsen.
Obviously, these “senior” workers will always be slower and less flexible, not “upgradable” and not in career.
Financial plan on retired workers will backfire, especially because contributions will have to be concerted with Unions and we had, thirty years ago, an inflation “two digits” …

Finally, nobody talks about a new electoral law, without which this government has a blank check to cash. A problem of effective democracy, which is combined with the use of a Government Bill, which cut off parliament, and the many and serious conflicts of interest faced by this government. Serious and very serious, such as the President of newspaper publishers who is also Deputy Minister to publishing.

Don be stupified if you read in newspapers a fewer part  of what Italians know by television from comments of technicians and politicians. As we cannot forget that this government has no experience about government, democracy and social governance.

If something does not go your way, under the hypotheses of professors, the Italians run the risk to pay a part of the Euro Default of Germans and Frenchs, as has already happened for Greece and Unicredit Bank on which it is was poured a part of the Polish flop.

read also Monti’s financial plan: a risky idea …

original on  demata

Italie, la manouevre de Monti ne fonctionnera pas

6 Dic

Il est incroyable de voir comment la presse italienne ne éleve pas une plainte ou une pensée négative sur le plan financier que Monti & co. veulent imposer aux Italiens, aujourd’hui, et les Français, demain qui sait, debout le «sentiment» a montré de “Mario”.
Tout se passe alors à la télévision, généralement consociative, ou nous écoutons, à l’inverse, des commentaires négatifs – parfois caustique – par des experts et des politiciens.

Un plan financier qui est une hypotesis, peut-être une promesse, peut-être une illusion.

Les aides pour les entreprises petites sont très faibles, donnée par les réductions d’impôts, qui ne fonctionnent que si les gens font du shopping et si la production augmente.
Évidemment, nous ne pouvons pas attendre de bon, si la récession actuelle sera aggravée par les mesures qui affectent sévèrement les pensions, car il est vraiment difficile à l’esprit des travailleurs plus coopératifs.
Parler sur les sociétés, Monti était clair: ceux qui ne peuvent survivre que espanding leurs marchés à l’étranger … où, bien entendu, l’allemand, les entreprises indiennes et chinoises sont en attente pour nous …

A propos de la Caste – c’est le nom utilisé par les Italiens pour les politiciens, pour les juges, les syndacates,  les medicians et les journalistes – rien ne se passe et rien n’est promis. À ce rythme, le coût de la vie politique, au moins comme un budget annuel de l’année 2012 restera une des hypothèses et le mécontentement pourrait se transformer en colère.
La réorganisation des municipalités et des provinces des sons comme un recul par rapport à la «volonté générale» pour annuler les provinces et les faire fondre les petites municipalités.
Et toujours sur la caste, rien n’est en vue concernant les syndicats et “système de justice», ce qui équivaut à rester attachés à de longues procédures et les transactions.

Les infrastructures et l’administration publique sont également en jeu, en dépit de vagues promesses, et cela signifie que les déchets et la baisse va se poursuivre. Non seulement cela, car une bonne partie des modalités d’exécution du plan financier de Monti aura à surmonter les obstacles et les drains à la Conférence État-Régions.
Le Sud semble ne pas exister, cinq milliards d’euros sont un banquet mendiant, ne mentionne même pas Naples (et Rome) sur problème d’enfouissement, les incitations et les infrastructures même de parler de lui. Et la lutte contre la mafia nécessite des investissements importants … au moment pas avaiable.
À propos du secteur public, il suffit de noter que les règles sur les retraites n’aura pas d’autre effet que d’augmenter l’âge moyen du personnel.

Et maintenant, nous arrivons à l’abattage de la retraite. La “promesse” de Monti est d’obtenir des liquidités pour environ 6 milliards par an plus d’une décennie. Une très petite quantité par rapport à l’incertitude sociale qui produit. Une somme aussi assez aléatoire.
Pour être précis, des milliards sont juste 3-4 au net d’impôt et, pour d’autres facteurs, prévision réelle Monti pourrait être juste une poignée de pennies vraiment.
En fait, puisque nous parlons de gens de plus de 50 ans, qui, non rarement, souffrent d’une maladie chronique et nous ne pouvons calculer le numéro de l’augmentation des coûts pour arret de travaille et pour l’augmentation des coûts des soins et de santé, étant donné que les maladies ne fera que s’aggraver.
Évidemment, ces travailleurs «seniors» seront toujours plus lents, moins flexibles et non pas dans la carrière. Le plan financier sur les travailleurs à la retraite va se retourner contre, surtout parce que les cotisations devront être concertés avec les syndicats et nous avons eu, il ya trente ans, une inflation «à deux chiffres” …

Enfin, personne ne parle de la nouvelle loi électorale, sans laquelle ce gouvernement trouve un chèque en blanc pour argent comptant.

Un problème de démocratie effective, qui est combinée avec l’utilisation d’un projet de loi du gouvernement, qui ont coupé le parlement, et les nombreux conflits et d’intérêts graves rencontrés par ce gouvernement. Graves et très graves, comme le président des éditeurs de journaux qui est également ministre adjoint à l’édition.

On ne peux pas s’étonner si nous lisons dans les journaux très peu de ce que nous savons par la télévision à partir des commentaires des techniciens et des politiciens.
Comme nous ne pouvons pas oublier que ce gouvernement n’a aucune expérience sur le nationale gouvernement, la démocratie et la social gouvernance.

Si quelque chose ne va pas sur votre chemin, sous les hypothèses de les professeurs, les Italiens courent le risque de payer une partie de l’Euro par défaut des Allemands et Frenchs, comme cela a déjà eu lieu pour la Grèce et Unicredit Bank sur lequel a été versé une partie de le flop polonais.

d’origine affiché sur demata

Perchè la manovra non funzionerà

6 Dic

E’ stupefacente come dalla stampa non si levi una lagnanza od una riflessione negativa riguardo la manovra che Monti & co. vogliono imporre agli italiani, oggi, ed ai francesi, domani chissà, vista la “simpatia” che mostrano i poteri forti di Francia per “Mariò”.
Il tutto mentre in televisione, tipicamente consociativa, si ascoltano, viceversa, commenti negativi autorevoli e, talvolta, caustici.

Partiamo dalle aziende per le quali c’è poco, troppo poco, visto che gli sgravi fiscali servono a qualcosa solo se la gente spende ed i lavoratori producono alacremente.
Ovviamente, non c’è da aspettarsi nulla di buono se la recessione sarà aggravata dalle misure che colpiscono duramente le pensioni, come sarà difficile che la collaboratività dei lavoratori aumenti, dopo la batosta annunciata.
Sempre riguardo le aziende, Monti è stato chiaro: sopravviverà solo chi riesce ad espandere i propri mercati all’estero … dove, ovviamente, stanno aspettando noi …

Passando alla Casta, nulla accade e nulla si promette. Di questo passo, i costi della politica, almeno come budget annuale del 2012 restano ipotesi ed il malcontento potrebbe trasformarsi in ira.
Riassetto dei comuni e delle provincie, infatti, significa solo un passo indietro rispetto alla “volontà generale” di cassare le provincie ed i piccoli comuni, valorizzando le comunità montane.
E sempre restando alla Casta, nulla è in vista riguardo sindacati e “sistema giustizia”, che equivale a rimanere impastoiati nelle lungaggini delle procedure e delle contrattazioni.

Infrastrutture e pubblica amministrazione restano anch’esse al palo, nonostante vaghe promesse, e questo significa che sprechi e declino continueranno. Ma non solo, dato che una buona parte delle norme attuative della manovra Monti dovranno superare lo scoglio ed il salasso della Conferenza Stato-Regioni.
Il Sud è come se non esistesse, cinque miliardi sono un’elemosina, neanche si menziona Napoli (e Roma) per la questione discariche, incentivi ed infrastrutture neanche a parlarne. Figuriamoci la lotta alla mafia che richiede grandi investimenti.
Quanto al pubblico impiego, basta rilevare che le norme sulle pensioni non avranno altro effetto che incrementare l’età media del personale.

Arriviamo alle pensioni, il de profundis. La “promessa” è di far cassa per circa 6 miliardi di euro l’anno su un arco decennale, in tutto una sessantina di miliardi. Una somma decisamente infima rispetto all’incertezza sociale che produce. Una somma anche alquanto aleatoria.
Per l’esattezza, di miliardi si conta di risparmiarne solo 3-4 al netto del prelievo fiscale e, così andando, l’apporto effettivo si riduce davvero ad una manciata di spiccioli.
Infatti, dato che parliamo di ultracinquantenni non di rado sofferenti di qualche malattia ormai cronica, non è dato sapere di quanto incrementerà la spesa per tutte le assenze che faranno e, soprattutto, quanto spenderemo in più di sanità, visto che le patologie non potranno che peggiorare.
Per non parlare del fatto che questi lavoratori saranno sempre più lenti e meno flessibili nelle loro mansioni e che non sono più “upgradabili” nè in carriera, ormai.
Secondo i conti della serva, la manovra sulle pensioni potrebbe rivelarsi un boomerang, visto anche che sul contributivo andranno concordati con i sindacati gli incrementi inflattivi “a due cifre” di 30 anni fa.

Per concludere, non si parla di nuova legge elettorale, senza la quale questo governo si ritrova ad incassare un assegno in bianco. Un problema di democrazia effettiva, che si assomma alla scelta dello strumento del decreto legge, che scavalca a pie’ pari il parlamento per 60 giorni, per non parlare dei tanti e seri conflitti di interessi, che affliggono questo esecutivo. Gravi e gravissimi, come quella del Presidente degli editori di giornali che è anche sottosegretario all’editoria.

Forse, è per questo che sui giornali si legge molto poco di quello che apprendiamo dalla televisione dai commenti di tecnici e politici.

Nel consegnare “l’asso di picche” a questa impostazione di governo e di governance,  ricordando che questo esecutivo non ha alcuna esperienza politica e sociale, resta solo da dire una cosa.

Se qualcosa non andasse per il verso giusto, secondo le ipotesi dei professori, noi italiani rischiamo di pagare una parte del default dell’euro che toccherebbe, viceversa, a tedeschi e francesi, come è gia accaduto per la Grecia e per Unicredit sulle quali è stato riversata una parte del flop polacco.

originale postato su demata