Alors que les Monti gouvernement se prépare à soumettre au Parlement un plan financier pour 200 milliards d’euros, malgré la possibilité que la récession va submerger tous, une voix de bon sens vient de Francfort.
Nous avons besoin d’une structure équilibre unique feuille, comme la BCE est unique. Il est Mario Draghi sur la parole, gouverneur de la Banque Centrale Européenne.
«Un des objectifs est urgent de parvenir à un système d’imposition de l’Union européenne».
Un «signal important», qui, comme ce blog a longtemps appelé, permettra de surmonter le obsolètes du le système public d’équilibre financier , qui caractérise l’Italie et la France. Les pays où la rigidité de la dépense et l’imprévisibilité des budgets publics sont «normales», avec la lenteur de la dépensela complexité de étapes de la procédure.
Une réforme qui va toucher, de façon prévisible, les traités européens et la soi-disant «pacte fiscal», mais, surtout, aura un impact non seulement sur les systèmes budgétaires nationaux et locaux, mais aussi sur le contrôle financier et d’audit, comme le processus , judiciaire ou extrajudiciaire, qui sera suivie pour les déficits et dettes publics.
Une révolution, si elle s’enracine dans les pays latins, où, jusqu’à présent, le pouvoir discrétionnaire accordé aux fonctionnaires publics a toujours été «négative» plutôt que «proactive».
Un système de castes où qui rien ne change (et n’avez pas dépenser ou produire des ressources) est récompensée et ceux qui ont vraiment de gérer sont cent fois vérifié.
Un monde où il est presque un péché d’innover et de s’améliorer. Un monde qui doit changer.
d’origine affiché sur demata
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